Ministère de la Culture et des Communications
Répertoire du patrimoine culturel du Québec

Répertoire dupatrimoineculturel du Québec

Inscrit au Registre du patrimoine culturel

Site patrimonial du Vieux-Québec

Type :

Patrimoine immobilier

Autre(s) nom(s) :

  • Arrondissement historique de Québec
  • Arrondissement historique du Vieux-Québec

Région administrative :

  • Capitale-Nationale

Municipalité :

  • Québec

Thématique :

  • Patrimoine autochtone (Patrimoine des Premières Nations)
  • Patrimoine commémoratif
  • Patrimoine institutionnel et civil
  • Patrimoine maritime et fluvial
  • Patrimoine militaire
  • Patrimoine religieux (Culte)
  • Patrimoine religieux (Mission curiale)
  • Patrimoine religieux (Mission éducative)
  • Patrimoine religieux (Mission hospitalière)
  • Patrimoine religieux (Vie quotidienne)

Tradition religieuse :

  • Christianisme (Anglicanisme)
  • Christianisme (Catholicisme (rite latin))
  • Christianisme (Protestantisme (Église Unie))
  • Christianisme (Protestantisme (Presbytérien))

Usage :

  • Non applicable

Éléments associés

Patrimoine immobilier associé (1014)

Patrimoine mobilier associé (3)

Plaques commémoratives associées (12)

Événements associés (4)

Personnes associées (3)

Carte

Description

Le site patrimonial du Vieux-Québec est un territoire urbain d'environ 135 hectares. Il est composé de deux secteurs distincts, une partie haute sur le promontoire du cap Diamant et une partie basse sur une bande de terre entre la falaise, la rivière Saint-Charles et le fleuve Saint-Laurent, à l'endroit même où ce cours d'eau se fait plus étroit. Il comprend près de 1400 bâtiments construits à partir du XVIIe siècle qui forment un paysage architectural diversifié évoquant ses principales fonctions, commerciale, culturelle, financière, institutionnelle, militaire, religieuse et résidentielle. Le site témoigne de quatre siècles d'architecture et compte des immeubles d'inspiration française, des édifices d'esprit palladien et néoclassique ainsi que des bâtiments d'influence plus éclectique.

Ce bien est déclaré site patrimonial. De forme irrégulière, le périmètre du site est approximativement délimité par le fleuve Saint-Laurent, les rues Saint-André et Saint-Paul, les secteurs du Palais de l'intendant et de l'îlot Fleurie, la rue Saint-Vallier Est, la côte d'Abraham, et par une ligne imaginaire passant entre l'Hôtel du Parlement et les remparts qui se poursuit jusqu'à la falaise et le fleuve. Le site est inclus dans l'arrondissement municipal de La Cité. Il englobe la ville fortifiée située dans le quartier Vieux-Québec-Haute-Ville, ainsi que certaines portions des quartiers Vieux-Québec-Basse-Ville, Cap-Blanc (à l'ouest) et Saint-Roch (au nord). Il compte plusieurs biens patrimoniaux classés. De nombreux sites archéologiques connus, témoignant de la présence autochtone et euroquébécoise, sont également associés au lieu.

Le site patrimonial du Vieux-Québec est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).

Haut de la page

Statuts

Statut Catégorie Autorité Date
Déclaration Site patrimonial Gouvernement du Québec 1964-05-06

Transfert de responsabilité

  • Exercice de certains pouvoirs par la municipalité (Québec), 2016-12-09
    Prise d'effet : 2017-06-09

Statuts antérieurs

  • Déclaration, 1963-11-06
 
Inscrit sur la liste (UNESCO) Site du patrimoine mondial (culturel) UNESCO 1985-12-03
 

Haut de la page

Valeur patrimoniale

Le site patrimonial du Vieux-Québec présente un intérêt pour sa valeur historique. Berceau de la civilisation française en Amérique, ce territoire urbain possède une densité historique remarquable et de nombreux repères mémoriels. Fréquenté par les autochtones depuis des millénaires, Québec est fondé en 1608 par l'explorateur français Samuel de Champlain (vers 1570-1635). De comptoir de traite, le lieu devient la capitale de la Nouvelle-France en 1663. Conquis en 1759, il est le siège administratif de la nouvelle colonie britannique (1763), puis une cité parlementaire (1791). En 1871, la garnison britannique quitte la ville. À l'initiative de Lord Dufferin (Frederick Temple Blackwood, 1826-1902), alors gouverneur général du Canada, le Vieux-Québec est graduellement perçu comme un lieu de mémoire national. Depuis, son caractère de cité-forteresse est mis en valeur et ses réaménagements s'inscrivent dans une continuité significative. Le site est aujourd'hui le centre historique et touristique de la capitale du Québec et le haut-lieu de l'Amérique française.

Le site patrimonial présente aussi un intérêt pour sa valeur paysagère. Né d'une adaptation à la topographie du site, ce paysage urbain se distingue par ses deux ensembles hiérarchisés, l'un à la haute-ville et l'autre à la basse-ville. La partie haute est structurée par son cadre institutionnel et par ses fortifications, avec la citadelle érigée sur le point culminant du cap Diamant, qui témoignent avec éloquence de l'aménagement des villes coloniales fortifiées et forment de loin l'exemple le plus complet préservé en Amérique du Nord. La partie basse, commerciale et portuaire, est enclavée entre la falaise et le fleuve. Le territoire se distingue aussi par son parcellaire varié, ses percées visuelles et ses vastes panoramas qui englobent parfois les environs ainsi que par la diversité de ses repères bâtis et naturels. La trame urbaine ancienne, au rythme et à la physionomie contrastée, est formée par le réseau initial des rues (radioconcentrique et orthogonal) et ponctuée de places qui témoignent de la période française. Certains aménagements réalisés depuis 1875 valorisent ses origines françaises.

Le site patrimonial présente également un intérêt pour sa valeur architecturale. On y trouve quelques-uns des exemples les plus achevés de l'architecture québécoise, notamment des XVIIIe et XIXe siècles. Le patrimoine bâti témoigne du caractère urbain de Québec et représente ses principales fonctions : commerciale, culturelle, financière, institutionnelle, militaire, religieuse et résidentielle. La concentration de bâtiments d'inspiration française est exceptionnelle. L'architecture postérieure à 1790, inspirée de l'architecture palladienne et néoclassique, marque aussi profondément le paysage. Quant à l'architecture plus éclectique d'après 1850, elle puise à la fois aux sources contemporaines britanniques, françaises et à celles des États-Unis. Le territoire compte plusieurs oeuvres d'architectes célèbres qui ont marqué l'histoire de l'architecture québécoise et en font la richesse. La mise en valeur du site, après 1960, s'est accompagnée de plusieurs reconstitutions historiques.

Le site patrimonial présente en outre un intérêt pour sa valeur archéologique. Le territoire renferme 470 sites archéologiques connus qui témoignent de l'occupation humaine du lieu depuis la présence autochtone et des modes de vie de ses habitants. L'époque de la Nouvelle-France est particulièrement bien représentée. Les traces d'occupation attestent l'importance stratégique de Québec comme lieu d'établissement, tant d'un point de vue militaire et politique que commercial. Ce territoire est l'un des mieux documentés en matière d'archéologie en Amérique du Nord et le plan d'aménagement du site intègre le volet archéologique, grâce à une très bonne connaissance de son potentiel.

Source : Ministère de la Culture et des Communications du Québec, 2005.

Haut de la page

Éléments caractéristiques

Les éléments clés du site patrimonial du Vieux-Québec liés à ses valeurs historique, paysagère, architecturale et archéologique comprennent, notamment :
- sa situation dans l'arrondissement municipal de La Cité-Limoilou, sur le promontoire du cap Diamant et sur une bande de terre entre la falaise, la rivière Saint-Charles et le fleuve Saint-Laurent;
- les 470 sites archéologiques connus permettant de retracer l'occupation humaine du lieu;
- les portions intactes offrant un potentiel archéologique;
- les immeubles et les sites patrimoniaux;
- les deux ensembles hiérarchisés, nés de la topographie du site, celui de la partie haute structuré entre autres par son cadre institutionnel et par ses fortifications et celui de la partie basse marqué notamment par un noyau commercial et portuaire;
- les fortifications, dont les remparts, la citadelle sur le point culminant du cap Diamant, les casernes et les redoutes;
- le parcellaire varié, dont les grands îlots institutionnels de la partie haute, les petits lots carrés majoritairement résidentiels comblant l'espace entre les grands îlots dans la partie haute et bordant la falaise dans la partie basse ainsi que des îlots au profil irrégulier;
- la trame urbaine ancienne, au rythme et à la physionomie contrastés, dont le réseau initial des rues de plan orthogonal dans la partie basse et de plan radioconcentrique et orthogonal dans la partie haute, les voies d'accès à la partie haute naturelles à l'origine (parmi lesquelles la côte de la Montagne, la côte du Palais et la côte d'Abraham), le parcours sinueux de certains tracés anciens soumis à la topographie et les anciennes places;
- les repères bâtis et naturels, dont le fleuve Saint-Laurent, le cap Diamant, la falaise et son boisé, la façade fluviale avec sa ligne de quais et une partie de ses rives couvertes de végétation, les édifices distinctifs à vocation institutionnelle ou commerciale, la terrasse, les portes des fortifications, les parcs, les places, les espaces publics et les monuments commémoratifs;
- les vastes panoramas englobant parfois les environs et ses percées visuelles malgré l'étroitesse des rues;
- les édifices témoignant de différentes fonctions, notamment commerciale, culturelle, financière, institutionnelle, militaire, religieuse et résidentielle;
- les bâtiments d'inspiration française caractérisés par les maçonneries portantes en moellons parfois crépies et chaulées, les élévations de deux ou trois étages, les toits aigus à versants droits ou à croupes souvent percés de lucarnes, les cheminées massives, les murs coupe-feu, les fenêtres à battants à petits carreaux, les chambranles en pierre taillée ainsi que l'ornementation sobre;
- les bâtiments d'inspiration palladienne et néoclassique caractérisés par la symétrie des façades, les maçonneries portantes en pierre taillée, en moellons couvertes d'un crépi imitant la pierre de taille ou encore en brique, les élévations de trois ou quatre étages, les toits de pente moyenne à versants droits ou à croupes percés de lucarnes, l'ordonnance régulière des fenêtres à battants ou à guillotine et l'ornementation sobre puisant au répertoire classique;
- les bâtiments érigés après 1850 caractérisés par leurs vocabulaires formels variés puisant notamment dans l'architecture victorienne, Second Empire et Beaux-Arts, les maçonneries (portantes ou de revêtement) en pierre ou en brique, les élévations souvent à trois ou quatre étages, les toits aux formes variées notamment à pignon, mansardés ou plats, l'ornementation souvent abondante et riche en pierre ou en bois;
- la mitoyenneté des constructions;
- les plans rectangulaires ou irréguliers épousant la forme des lots;
- les cours arrière accessibles par des portes cochères.

Haut de la page

Informations historiques

Le territoire du site patrimonial du Vieux-Québec est le berceau de la civilisation française en Amérique du Nord. Ce lieu possède une densité historique remarquable et de nombreux repères mémoriels.

Fréquenté par les autochtones depuis la préhistoire, Québec est fondé en 1608 par Samuel de Champlain (vers 1570-1635), explorateur français, à la demande de Pierre Du Gua De Monts (vers 1558-1628), détenteur d'un monopole commercial. Québec est d'abord un comptoir de traite des fourrures. En 1615, le lieu accueille ses premiers missionnaires. La construction du fort Saint-Louis sur le cap Diamant, en 1620, marque la naissance de la partie haute de la cité.

En 1663, la Nouvelle-France est annexée au domaine royal, et Québec en devient la capitale. Les fonctions institutionnelles, militaires, commerciales et portuaires se développent, et les fortifications se complexifient. De nombreux bâtiments d'inspiration française sont érigés.

Assiégé par les Britanniques en 1759, Québec capitule. En 1763, l'ancienne capitale de la Nouvelle-France devient le siège administratif de la nouvelle colonie anglaise. La cité est désignée capitale parlementaire du Bas-Canada en 1791, et ses activités institutionnelles se consolident. Les nouveaux édifices s'inspirent de l'architecture palladienne et néoclassique, ce qui modifie le visage de la ville.

Pendant la première moitié du XIXe siècle, la région de Québec connaît une importante croissance économique. Sa population augmente rapidement, notamment avec l'arrivée des immigrants, et se répand hors les murs dans les faubourgs. Cette prospérité découle principalement du blocus continental (1806-1814) imposé à l'Angleterre par la France. Québec devient alors la plaque tournante du commerce du bois, de la construction navale et l'un des principaux ports en Amérique du Nord. La citadelle est alors construite sur le cap Diamant, faisant de Québec le « Gibraltar d'Amérique ».

La deuxième moitié du XIXe siècle est une période de déclin pour Québec. Les chemins de fer s'installent d'abord sur la rive sud du fleuve. Le commerce du bois et la construction navale s'essoufflent. Québec perd, de plus, son statut de capitale du Canada-Uni. Les principales activités économiques et politiques se déplacent ainsi vers l'ouest.

En contrepartie, la cité de Champlain devient, en 1867, la capitale de la province de Québec. Elle s'impose comme le principal centre urbain et industriel de l'Est-du-Québec et d'une partie des Maritimes. L'architecture plus éclectique de cette période puise à la fois aux sources contemporaines britanniques, françaises et à celles des États-Unis.

En 1871, la garnison britannique quitte Québec. Ce départ met en question la survivance des fortifications. Elles seront néanmoins conservées, notamment grâce à Lord Dufferin (Frederick Temple Blackwood, 1826-1902), gouverneur général du Canada. Le Vieux-Québec est perçu graduellement comme un lieu de mémoire national. Son caractère de cité-forteresse est mis en valeur par la reconstruction de certaines portes des fortifications et l'édification du Château Frontenac, un hôtel construit sur le site du château Saint-Louis.

Le site patrimonial du Vieux-Québec est déclaré en 1963 et agrandi l'année suivante. Les réaménagements du Vieux-Québec s'inscrivent désormais dans une continuité significative et tiennent compte des aspects historiques. Le chantier de Place-Royale et ses reconstitutions historiques valorisent le passé français de la cité. Le lieu devient aussi un objet d'étude historique, architectural et archéologique.

En 1985, le site patrimonial du Vieux-Québec est le premier noyau urbain en Amérique du Nord à être inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).

Le site est aujourd'hui le centre historique et touristique de la capitale du Québec et le haut-lieu de l'Amérique française.

Haut de la page

Emplacement

Region administrative :

  • Capitale-Nationale

MRC :

  • Québec

Municipalité :

  • Québec

Arrondissement municipal :

  • La Cité

Latitude :

  • 46° 48' 45.8"

Longitude :

  • -71° 12' 36.6"

Code Borden

CeEt-100 CeEt-101 CeEt-102 CeEt-103
CeEt-104 CeEt-105 CeEt-106 CeEt-108
CeEt-109 CeEt-110 CeEt-111 CeEt-114
CeEt-115 CeEt-118 CeEt-120 CeEt-121
CeEt-123 CeEt-124 CeEt-126 CeEt-127
CeEt-128 CeEt-13 CeEt-131 CeEt-132
CeEt-133 CeEt-134 CeEt-136 CeEt-137
CeEt-138 CeEt-139 CeEt-14 CeEt-140
CeEt-142 CeEt-143 CeEt-144 CeEt-149
CeEt-15 CeEt-150 CeEt-151 CeEt-152
CeEt-153 CeEt-154 CeEt-155 CeEt-156
CeEt-157 CeEt-158 CeEt-16 CeEt-160
CeEt-161 CeEt-162 CeEt-163 CeEt-164
CeEt-165 CeEt-166 CeEt-167 CeEt-168
CeEt-169 CeEt-17 CeEt-172 CeEt-173
CeEt-174 CeEt-175 CeEt-176 CeEt-177
CeEt-178 CeEt-179 CeEt-18 CeEt-180
CeEt-181 CeEt-182 CeEt-183 CeEt-184
CeEt-185 CeEt-186 CeEt-187 CeEt-188
CeEt-189 CeEt-19 CeEt-190 CeEt-191
CeEt-192 CeEt-193 CeEt-195 CeEt-196
CeEt-197 CeEt-198 CeEt-199 CeEt-200
CeEt-201 CeEt-202 CeEt-203 CeEt-204
CeEt-205 CeEt-206 CeEt-207 CeEt-208
CeEt-209 CeEt-21 CeEt-214 CeEt-215
CeEt-216 CeEt-217 CeEt-218 CeEt-219
CeEt-220 CeEt-223 CeEt-224 CeEt-226
CeEt-227 CeEt-228 CeEt-229 CeEt-230
CeEt-231 CeEt-232 CeEt-233 CeEt-234
CeEt-235 CeEt-236 CeEt-237 CeEt-238
CeEt-239 CeEt-240 CeEt-242 CeEt-243
CeEt-244 CeEt-245 CeEt-246 CeEt-247
CeEt-248 CeEt-249 CeEt-250 CeEt-251
CeEt-252 CeEt-253 CeEt-254 CeEt-264
CeEt-265 CeEt-266 CeEt-267 CeEt-268
CeEt-269 CeEt-271 CeEt-272 CeEt-273
CeEt-274 CeEt-275 CeEt-276 CeEt-277
CeEt-278 CeEt-279 CeEt-28 CeEt-280
CeEt-282 CeEt-283 CeEt-284 CeEt-285
CeEt-29 CeEt-290 CeEt-291 CeEt-292
CeEt-293 CeEt-294 CeEt-295 CeEt-296
CeEt-297 CeEt-298 CeEt-3 CeEt-30
CeEt-300 CeEt-301 CeEt-302 CeEt-303
CeEt-304 CeEt-305 CeEt-308 CeEt-31
CeEt-310 CeEt-311 CeEt-312 CeEt-313
CeEt-314 CeEt-315 CeEt-316 CeEt-317
CeEt-318 CeEt-319 CeEt-32 CeEt-320
CeEt-321 CeEt-322 CeEt-323 CeEt-324
CeEt-325 CeEt-326 CeEt-327 CeEt-328
CeEt-329 CeEt-33 CeEt-330 CeEt-331
CeEt-333 CeEt-334 CeEt-335 CeEt-336
CeEt-337 CeEt-338 CeEt-339 CeEt-34
CeEt-340 CeEt-341 CeEt-342 CeEt-343
CeEt-344 CeEt-345 CeEt-346 CeEt-347
CeEt-348 CeEt-349 CeEt-35 CeEt-350
CeEt-351 CeEt-352 CeEt-353 CeEt-354
CeEt-355 CeEt-356 CeEt-357 CeEt-358
CeEt-359 CeEt-36 CeEt-360 CeEt-361
CeEt-362 CeEt-363 CeEt-364 CeEt-365
CeEt-366 CeEt-367 CeEt-368 CeEt-369
CeEt-37 CeEt-370 CeEt-371 CeEt-376
CeEt-377 CeEt-378 CeEt-379 CeEt-38
CeEt-380 CeEt-381 CeEt-382 CeEt-383
CeEt-384 CeEt-385 CeEt-386 CeEt-387
CeEt-388 CeEt-389 CeEt-39 CeEt-390
CeEt-391 CeEt-394 CeEt-395 CeEt-396
CeEt-398 CeEt-399 CeEt-4 CeEt-40
CeEt-400 CeEt-401 CeEt-402 CeEt-403
CeEt-407 CeEt-408 CeEt-409 CeEt-410
CeEt-411 CeEt-412 CeEt-413 CeEt-414
CeEt-415 CeEt-416 CeEt-417 CeEt-419
CeEt-42 CeEt-420 CeEt-421 CeEt-422
CeEt-423 CeEt-424 CeEt-425 CeEt-426
CeEt-427 CeEt-428 CeEt-429 CeEt-43
CeEt-430 CeEt-431 CeEt-435 CeEt-45
CeEt-451 CeEt-452 CeEt-453 CeEt-454
CeEt-455 CeEt-456 CeEt-457 CeEt-458
CeEt-459 CeEt-46 CeEt-460 CeEt-472
CeEt-473 CeEt-476 CeEt-48 CeEt-483
CeEt-484 CeEt-485 CeEt-486 CeEt-487
CeEt-488 CeEt-489 CeEt-49 CeEt-490
CeEt-491 CeEt-492 CeEt-493 CeEt-50
CeEt-51 CeEt-52 CeEt-523 CeEt-524
CeEt-525 CeEt-531 (en réservation) CeEt-532 CeEt-533
CeEt-535 CeEt-536 CeEt-537 CeEt-54
CeEt-545 CeEt-547 CeEt-55 CeEt-555
CeEt-556 CeEt-558 CeEt-56 CeEt-566
CeEt-567 CeEt-568 CeEt-569 CeEt-57
CeEt-570 CeEt-571 CeEt-572 CeEt-573
CeEt-574 CeEt-576 CeEt-58 CeEt-59
CeEt-596 CeEt-6 CeEt-60 CeEt-601
CeEt-602 CeEt-603 CeEt-604 CeEt-606
CeEt-607 CeEt-608 CeEt-609 CeEt-61
CeEt-610 CeEt-611 CeEt-612 CeEt-613
CeEt-614 CeEt-62 CeEt-621 CeEt-627
CeEt-628 CeEt-630 CeEt-632 CeEt-639
CeEt-64 CeEt-640 CeEt-641 CeEt-642
CeEt-643 CeEt-644 CeEt-645 CeEt-65
CeEt-651 CeEt-652 CeEt-653 CeEt-654
CeEt-655 CeEt-656 CeEt-66 CeEt-663
CeEt-664 CeEt-665 CeEt-666 CeEt-667
CeEt-668 CeEt-669 CeEt-67 CeEt-670
CeEt-671 CeEt-672 CeEt-673 CeEt-675
CeEt-676 CeEt-678 CeEt-68 CeEt-681
CeEt-682 CeEt-683 CeEt-684 CeEt-69
CeEt-691 CeEt-692 CeEt-693 CeEt-695
CeEt-7 CeEt-705 CeEt-706 CeEt-707
CeEt-72 CeEt-720 CeEt-721 CeEt-724
CeEt-725 CeEt-726 CeEt-728 CeEt-73
CeEt-735 CeEt-738 CeEt-74 CeEt-748
CeEt-75 CeEt-757 CeEt-758 CeEt-76
CeEt-760 CeEt-77 CeEt-775 CeEt-78
CeEt-79 CeEt-790 CeEt-791 CeEt-796
CeEt-798 CeEt-8 CeEt-80 CeEt-800
CeEt-807 CeEt-808 CeEt-809 CeEt-817
CeEt-82 CeEt-83 CeEt-835 CeEt-836
CeEt-837 CeEt-838 CeEt-839 CeEt-84
CeEt-843 CeEt-844 CeEt-849 CeEt-85
CeEt-852 CeEt-862 CeEt-863 CeEt-864
CeEt-865 CeEt-866 CeEt-867 CeEt-869
CeEt-870 CeEt-871 CeEt-872 CeEt-873
CeEt-897 CeEt-898 CeEt-9 CeEt-918
CeEt-923 CeEt-929 CeEt-940 CeEt-941
CeEt-949 CeEt-953 CeEt-954 CeEt-955
CeEt-958 CeEt-966 CeEt-978 ( en réservation) CeEt-98
CeEt-985 (en réservation) CeEt-99    

Haut de la page

Documents

Références

Liens Internet :

Notices bibliographiques :

  • AUGERON, Mickaël, dir., Dominique GUILLEMET, dir., Alain ROY, dir. et Marc ST-HILAIRE, dir. Les traces de la Nouvelle-France au Québec et en Poitou-Charentes. Québec, Les Presses de l'Université Laval, 2008. 308 p.
  • BLANCHET, Danielle, Louise FORGET et Sylvie THIVIERGE. Vieux-Québec, Cap-Blanc : place forte et port de mer. Québec, Ville de Québec, 1989. 80 p.
  • Commission des biens culturels du Québec / Suzel Brunel. Empreintes & mémoire: l'arrondissement historique du Vieux-Québec. Québec, Les Publications du Québec, 2007. 237 p.
  • COURVILLE, Serge et Robert GARON. Québec, ville et capitale. Sainte-Foy, Les Presses de l'Université Laval, 2001. 457 p.
  • HARE, John, Marc LAFRANCE et David-Thiery RUDDEL. Histoire de la ville de Québec, 1608-1871. Montréal, Boréal, 1987. 399 p.
  • LEBEL, Jean-Marie. Le Vieux-Québec: guide du promeneur. Sillery, Septentrion, 1997. 338 p.
  • MORISSET, Lucie K. et Luc NOPPEN. Québec de roc et de pierres : la capitale en architecture. Sainte-Foy, Éditions MultiMondes, 1998. 150 p.
  • NOPPEN, Luc, Claude PAULETTE et Michel TREMBLAY. Québec : trois siècles d'architecture. Montréal, Libre expression, 1979. 440 p.
  • PROVENCHER, Jean. L'histoire du Vieux-Québec à travers son patrimoine. Québec, Les Publications du Québec, 2007. 277 p.
  • s.a. « Arrondissement historique du Vieux-Québec ». Commission des biens culturels du Québec. Les chemins de la mémoire. Monuments et sites historiques du Québec. Tome I. Québec, Les Publications du Québec, 1990, p. 77-108.
  • s.a. Conserver et mettre en valeur le Vieux-Québec : guide d'intervention. Québec, Ministère de la Culture et des Communications / Ville de Québec, 1998. 112 p.
  • s.a. Étude d'ensemble : Sous-secteur Hôtel-de-Ville. Synthèse. Québec, Ville de Québec / Centre de développement économique et urbain, design et patrimoine, 1998. 134 p.
  • s.a. Étude de caractérisation de l'arrondissement historique de Québec. Québec, Commission des biens culturels du Québec, 2005. 122 p.
  • s.a. La Capitale : lieu du pouvoir. Sainte-Foy, Les Publications du Québec, 1997. 129 p.
  • s.a. La recherche archéologique en milieu urbain : d'une archéologie dans la ville vers une archéologie de la ville. Sainte-Foy, CÉLAT, 1994. 65 p.
  • s.a. Les dessous de la terrasse à Québec : archéologie dans la cour et les jardins du Château Saint-Louis. Sillery, Septentrion, 1990. 199 p.
  • s.a. On a fouillé le passé. Québec. Québec, Ville de Québec / Ministère de la Culture et des Communications, 1999. 40 p.
  • s.a. « Québec (ville) ». Historica Canada. L'encyclopédie canadienne [En ligne]. http://www.canadianencyclopedia.ca/index.cfm?PgNm=TCE&Params=F1ARTF0006595
  • s.a. Québec 1900-2000 : le siècle d'une capitale. Québec, MultiMondes / Commission de la Capitale-Nationale, 2000. 157 p.
  • s.a. Québec en cinq temps. Québec, Ville de Québec / Ministère de la Culture et des Communications, 1994. 36 p.
  • s.a. Québec plein la vue. Québec, Musée du Québec / Publications du Québec, 1994. s.p.
  • s.a. Québec, la ville sous la ville. Québec, Service de l'urbanisme, 1987. 141 p.
  • s.a. Québec, une histoire capitale. Québec, Éditions GID inc., 1998. 215 p.
  • s.a. « Spécial Vieux-Québec ». Continuité. No 74 (1997), p. 1-82.
  • s.a. « Survol de l'histoire de la ville de Québec ». Ville de Québec. Site officiel de la Ville de Québec [En ligne]. http://www.ville.quebec.qc.ca/fr/exploration/histoire.shtml
  • Ville de Québec. Site officiel de la Ville de Québec [En Ligne]. http://www.ville.quebec.qc.ca

Multimédias disponibles en ligne :

Haut de la page

Gouvernement du Québec

© Gouvernement du Québec, 2024