Site patrimonial du Vieux-Québec
Type :
Patrimoine immobilier
Autre(s) nom(s) :
- Arrondissement historique de Québec
- Arrondissement historique du Vieux-Québec
Région administrative :
- Capitale-Nationale
Municipalité :
- Québec
Thématique :
- Patrimoine autochtone (Patrimoine des Premières Nations)
- Patrimoine commémoratif
- Patrimoine institutionnel et civil
- Patrimoine maritime et fluvial
- Patrimoine militaire
- Patrimoine religieux (Culte)
- Patrimoine religieux (Mission curiale)
- Patrimoine religieux (Mission éducative)
- Patrimoine religieux (Mission hospitalière)
- Patrimoine religieux (Vie quotidienne)
Tradition religieuse :
- Christianisme (Anglicanisme)
- Christianisme (Catholicisme (rite latin))
- Christianisme (Protestantisme (Église Unie))
- Christianisme (Protestantisme (Presbytérien))
Usage :
- Non applicable
Patrimoine immobilier associé (1014)
Comprend :
-
Ancien palais de justice de Québec
-
Basilique-cathédrale de Notre-Dame-de-Québec
-
École du Cap-Diamant
-
Édifice de la National School
Autres biens associés :
- Vestiges du rempart palissadé de Berthelot de Beaucours - Emplacement antérieur
Patrimoine mobilier associé (3)
Plaques commémoratives associées (12)
Événements associés (4)
Personnes associées (3)
Carte
Description
Le site patrimonial du Vieux-Québec est un territoire urbain d'environ 135 hectares. Il est composé de deux secteurs distincts, une partie haute sur le promontoire du cap Diamant et une partie basse sur une bande de terre entre la falaise, la rivière Saint-Charles et le fleuve Saint-Laurent, à l'endroit même où ce cours d'eau se fait plus étroit. Il comprend près de 1400 bâtiments construits à partir du XVIIe siècle qui forment un paysage architectural diversifié évoquant ses principales fonctions, commerciale, culturelle, financière, institutionnelle, militaire, religieuse et résidentielle. Le site témoigne de quatre siècles d'architecture et compte des immeubles d'inspiration française, des édifices d'esprit palladien et néoclassique ainsi que des bâtiments d'influence plus éclectique.
Ce bien est déclaré site patrimonial. De forme irrégulière, le périmètre du site est approximativement délimité par le fleuve Saint-Laurent, les rues Saint-André et Saint-Paul, les secteurs du Palais de l'intendant et de l'îlot Fleurie, la rue Saint-Vallier Est, la côte d'Abraham, et par une ligne imaginaire passant entre l'Hôtel du Parlement et les remparts qui se poursuit jusqu'à la falaise et le fleuve. Le site est inclus dans l'arrondissement municipal de La Cité. Il englobe la ville fortifiée située dans le quartier Vieux-Québec-Haute-Ville, ainsi que certaines portions des quartiers Vieux-Québec-Basse-Ville, Cap-Blanc (à l'ouest) et Saint-Roch (au nord). Il compte plusieurs biens patrimoniaux classés. De nombreux sites archéologiques connus, témoignant de la présence autochtone et euroquébécoise, sont également associés au lieu.
Le site patrimonial du Vieux-Québec est inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
Statuts
Statut | Catégorie | Autorité | Date |
---|---|---|---|
Déclaration | Site patrimonial | Gouvernement du Québec | 1964-05-06 |
Transfert de responsabilité
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Statuts antérieurs
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Inscrit sur la liste (UNESCO) | Site du patrimoine mondial (culturel) | UNESCO | 1985-12-03 |
Valeur patrimoniale
Le site patrimonial du Vieux-Québec présente un intérêt pour sa valeur historique. Berceau de la civilisation française en Amérique, ce territoire urbain possède une densité historique remarquable et de nombreux repères mémoriels. Fréquenté par les autochtones depuis des millénaires, Québec est fondé en 1608 par l'explorateur français Samuel de Champlain (vers 1570-1635). De comptoir de traite, le lieu devient la capitale de la Nouvelle-France en 1663. Conquis en 1759, il est le siège administratif de la nouvelle colonie britannique (1763), puis une cité parlementaire (1791). En 1871, la garnison britannique quitte la ville. À l'initiative de Lord Dufferin (Frederick Temple Blackwood, 1826-1902), alors gouverneur général du Canada, le Vieux-Québec est graduellement perçu comme un lieu de mémoire national. Depuis, son caractère de cité-forteresse est mis en valeur et ses réaménagements s'inscrivent dans une continuité significative. Le site est aujourd'hui le centre historique et touristique de la capitale du Québec et le haut-lieu de l'Amérique française.
Le site patrimonial présente aussi un intérêt pour sa valeur paysagère. Né d'une adaptation à la topographie du site, ce paysage urbain se distingue par ses deux ensembles hiérarchisés, l'un à la haute-ville et l'autre à la basse-ville. La partie haute est structurée par son cadre institutionnel et par ses fortifications, avec la citadelle érigée sur le point culminant du cap Diamant, qui témoignent avec éloquence de l'aménagement des villes coloniales fortifiées et forment de loin l'exemple le plus complet préservé en Amérique du Nord. La partie basse, commerciale et portuaire, est enclavée entre la falaise et le fleuve. Le territoire se distingue aussi par son parcellaire varié, ses percées visuelles et ses vastes panoramas qui englobent parfois les environs ainsi que par la diversité de ses repères bâtis et naturels. La trame urbaine ancienne, au rythme et à la physionomie contrastée, est formée par le réseau initial des rues (radioconcentrique et orthogonal) et ponctuée de places qui témoignent de la période française. Certains aménagements réalisés depuis 1875 valorisent ses origines françaises.
Le site patrimonial présente également un intérêt pour sa valeur architecturale. On y trouve quelques-uns des exemples les plus achevés de l'architecture québécoise, notamment des XVIIIe et XIXe siècles. Le patrimoine bâti témoigne du caractère urbain de Québec et représente ses principales fonctions : commerciale, culturelle, financière, institutionnelle, militaire, religieuse et résidentielle. La concentration de bâtiments d'inspiration française est exceptionnelle. L'architecture postérieure à 1790, inspirée de l'architecture palladienne et néoclassique, marque aussi profondément le paysage. Quant à l'architecture plus éclectique d'après 1850, elle puise à la fois aux sources contemporaines britanniques, françaises et à celles des États-Unis. Le territoire compte plusieurs oeuvres d'architectes célèbres qui ont marqué l'histoire de l'architecture québécoise et en font la richesse. La mise en valeur du site, après 1960, s'est accompagnée de plusieurs reconstitutions historiques.
Le site patrimonial présente en outre un intérêt pour sa valeur archéologique. Le territoire renferme 470 sites archéologiques connus qui témoignent de l'occupation humaine du lieu depuis la présence autochtone et des modes de vie de ses habitants. L'époque de la Nouvelle-France est particulièrement bien représentée. Les traces d'occupation attestent l'importance stratégique de Québec comme lieu d'établissement, tant d'un point de vue militaire et politique que commercial. Ce territoire est l'un des mieux documentés en matière d'archéologie en Amérique du Nord et le plan d'aménagement du site intègre le volet archéologique, grâce à une très bonne connaissance de son potentiel.
Source : Ministère de la Culture et des Communications du Québec, 2005.
Éléments caractéristiques
Les éléments clés du site patrimonial du Vieux-Québec liés à ses valeurs historique, paysagère, architecturale et archéologique comprennent, notamment :
- sa situation dans l'arrondissement municipal de La Cité-Limoilou, sur le promontoire du cap Diamant et sur une bande de terre entre la falaise, la rivière Saint-Charles et le fleuve Saint-Laurent;
- les 470 sites archéologiques connus permettant de retracer l'occupation humaine du lieu;
- les portions intactes offrant un potentiel archéologique;
- les immeubles et les sites patrimoniaux;
- les deux ensembles hiérarchisés, nés de la topographie du site, celui de la partie haute structuré entre autres par son cadre institutionnel et par ses fortifications et celui de la partie basse marqué notamment par un noyau commercial et portuaire;
- les fortifications, dont les remparts, la citadelle sur le point culminant du cap Diamant, les casernes et les redoutes;
- le parcellaire varié, dont les grands îlots institutionnels de la partie haute, les petits lots carrés majoritairement résidentiels comblant l'espace entre les grands îlots dans la partie haute et bordant la falaise dans la partie basse ainsi que des îlots au profil irrégulier;
- la trame urbaine ancienne, au rythme et à la physionomie contrastés, dont le réseau initial des rues de plan orthogonal dans la partie basse et de plan radioconcentrique et orthogonal dans la partie haute, les voies d'accès à la partie haute naturelles à l'origine (parmi lesquelles la côte de la Montagne, la côte du Palais et la côte d'Abraham), le parcours sinueux de certains tracés anciens soumis à la topographie et les anciennes places;
- les repères bâtis et naturels, dont le fleuve Saint-Laurent, le cap Diamant, la falaise et son boisé, la façade fluviale avec sa ligne de quais et une partie de ses rives couvertes de végétation, les édifices distinctifs à vocation institutionnelle ou commerciale, la terrasse, les portes des fortifications, les parcs, les places, les espaces publics et les monuments commémoratifs;
- les vastes panoramas englobant parfois les environs et ses percées visuelles malgré l'étroitesse des rues;
- les édifices témoignant de différentes fonctions, notamment commerciale, culturelle, financière, institutionnelle, militaire, religieuse et résidentielle;
- les bâtiments d'inspiration française caractérisés par les maçonneries portantes en moellons parfois crépies et chaulées, les élévations de deux ou trois étages, les toits aigus à versants droits ou à croupes souvent percés de lucarnes, les cheminées massives, les murs coupe-feu, les fenêtres à battants à petits carreaux, les chambranles en pierre taillée ainsi que l'ornementation sobre;
- les bâtiments d'inspiration palladienne et néoclassique caractérisés par la symétrie des façades, les maçonneries portantes en pierre taillée, en moellons couvertes d'un crépi imitant la pierre de taille ou encore en brique, les élévations de trois ou quatre étages, les toits de pente moyenne à versants droits ou à croupes percés de lucarnes, l'ordonnance régulière des fenêtres à battants ou à guillotine et l'ornementation sobre puisant au répertoire classique;
- les bâtiments érigés après 1850 caractérisés par leurs vocabulaires formels variés puisant notamment dans l'architecture victorienne, Second Empire et Beaux-Arts, les maçonneries (portantes ou de revêtement) en pierre ou en brique, les élévations souvent à trois ou quatre étages, les toits aux formes variées notamment à pignon, mansardés ou plats, l'ornementation souvent abondante et riche en pierre ou en bois;
- la mitoyenneté des constructions;
- les plans rectangulaires ou irréguliers épousant la forme des lots;
- les cours arrière accessibles par des portes cochères.
Informations historiques
Le territoire du site patrimonial du Vieux-Québec est le berceau de la civilisation française en Amérique du Nord. Ce lieu possède une densité historique remarquable et de nombreux repères mémoriels.
Fréquenté par les autochtones depuis la préhistoire, Québec est fondé en 1608 par Samuel de Champlain (vers 1570-1635), explorateur français, à la demande de Pierre Du Gua De Monts (vers 1558-1628), détenteur d'un monopole commercial. Québec est d'abord un comptoir de traite des fourrures. En 1615, le lieu accueille ses premiers missionnaires. La construction du fort Saint-Louis sur le cap Diamant, en 1620, marque la naissance de la partie haute de la cité.
En 1663, la Nouvelle-France est annexée au domaine royal, et Québec en devient la capitale. Les fonctions institutionnelles, militaires, commerciales et portuaires se développent, et les fortifications se complexifient. De nombreux bâtiments d'inspiration française sont érigés.
Assiégé par les Britanniques en 1759, Québec capitule. En 1763, l'ancienne capitale de la Nouvelle-France devient le siège administratif de la nouvelle colonie anglaise. La cité est désignée capitale parlementaire du Bas-Canada en 1791, et ses activités institutionnelles se consolident. Les nouveaux édifices s'inspirent de l'architecture palladienne et néoclassique, ce qui modifie le visage de la ville.
Pendant la première moitié du XIXe siècle, la région de Québec connaît une importante croissance économique. Sa population augmente rapidement, notamment avec l'arrivée des immigrants, et se répand hors les murs dans les faubourgs. Cette prospérité découle principalement du blocus continental (1806-1814) imposé à l'Angleterre par la France. Québec devient alors la plaque tournante du commerce du bois, de la construction navale et l'un des principaux ports en Amérique du Nord. La citadelle est alors construite sur le cap Diamant, faisant de Québec le « Gibraltar d'Amérique ».
La deuxième moitié du XIXe siècle est une période de déclin pour Québec. Les chemins de fer s'installent d'abord sur la rive sud du fleuve. Le commerce du bois et la construction navale s'essoufflent. Québec perd, de plus, son statut de capitale du Canada-Uni. Les principales activités économiques et politiques se déplacent ainsi vers l'ouest.
En contrepartie, la cité de Champlain devient, en 1867, la capitale de la province de Québec. Elle s'impose comme le principal centre urbain et industriel de l'Est-du-Québec et d'une partie des Maritimes. L'architecture plus éclectique de cette période puise à la fois aux sources contemporaines britanniques, françaises et à celles des États-Unis.
En 1871, la garnison britannique quitte Québec. Ce départ met en question la survivance des fortifications. Elles seront néanmoins conservées, notamment grâce à Lord Dufferin (Frederick Temple Blackwood, 1826-1902), gouverneur général du Canada. Le Vieux-Québec est perçu graduellement comme un lieu de mémoire national. Son caractère de cité-forteresse est mis en valeur par la reconstruction de certaines portes des fortifications et l'édification du Château Frontenac, un hôtel construit sur le site du château Saint-Louis.
Le site patrimonial du Vieux-Québec est déclaré en 1963 et agrandi l'année suivante. Les réaménagements du Vieux-Québec s'inscrivent désormais dans une continuité significative et tiennent compte des aspects historiques. Le chantier de Place-Royale et ses reconstitutions historiques valorisent le passé français de la cité. Le lieu devient aussi un objet d'étude historique, architectural et archéologique.
En 1985, le site patrimonial du Vieux-Québec est le premier noyau urbain en Amérique du Nord à être inscrit sur la Liste du patrimoine mondial de l'Organisation des Nations Unies pour l'éducation, la science et la culture (UNESCO).
Le site est aujourd'hui le centre historique et touristique de la capitale du Québec et le haut-lieu de l'Amérique française.
Emplacement
Region administrative :
- Capitale-Nationale
MRC :
- Québec
Municipalité :
- Québec
Arrondissement municipal :
- La Cité
Latitude :
- 46° 48' 45.8"
Longitude :
- -71° 12' 36.6"
Code Borden
CeEt-100 | CeEt-101 | CeEt-102 | CeEt-103 |
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CeEt-985 (en réservation) | CeEt-99 |
Documents
Références
Liens Internet :
Notices bibliographiques :
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