Répertoire dupatrimoineculturel du Québec

Inscrit au Registre du patrimoine culturel

Assemblée nationale du Québec

Type :

Patrimoine immobilier

Autre(s) nom(s) :

  • Site historique national
  • Site patrimonial national

Région administrative :

  • Capitale-Nationale

Municipalité :

  • Québec

Thématique :

  • Patrimoine commémoratif
  • Patrimoine institutionnel et civil

Usage :

  • Services et institutions (Hôtel du Parlement et ministères)

Éléments associés

Patrimoine immobilier associé (18)

Personnes associées (8)

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Description

L'Assemblée nationale du Québec est un ensemble institutionnel érigé en plusieurs étapes à partir de 1877. Le site comprend l'Hôtel du Parlement (1877-1886), l'édifice Pamphile-Le May (1910-1915), l'édifice du restaurant Le Parlementaire (1912-1917), l'édifice Honoré-Mercier (1922-1925), l'édifice Jean-Antoine-Panet (1931-1932) et l'édifice André-Laurendeau (1934-1937). L'Hôtel du Parlement, dominé par une tour de huit étages, est une construction de style Second Empire formée de quatre corps de bâtiment (le Palais législatif et les trois ailes) autour d'une cour intérieure, tandis que les autres édifices s'inscrivent dans la tradition de l'architecture Beaux-Arts. Ces bâtiments, de plan carré ou rectangulaire, comptent de trois à neuf étages. Ils sont en pierre de taille, à l'exception de l'édifice du restaurant Le Parlementaire, situé dans la cour intérieure de l'Hôtel du Parlement. Des passerelles aériennes les relient.

Une partie du site est ceinturée par un muret en granit gris. Le terrain est agrémenté d'arbres, d'aménagements paysagers, d'allées, de statues et de monuments. Il inclut une partie de la place de l'Assemblée-Nationale, qui s'étend devant l'Hôtel du Parlement, et une partie de la promenade des Premiers-Ministres.

L'Assemblée nationale du Québec est située dans la ville de Québec, sur la colline Parlementaire, dans le périmètre formé par le boulevard René-Lévesque Est, l'avenue Honoré-Mercier, la Grande Allée Est, la rue des Parlementaires, la rue Saint-Amable et la rue Louis-Alexandre-Taschereau.

Ce bien est déclaré site patrimonial national. Deux sites inscrits à l'Inventaire des sites archéologiques du Québec sont associés au lieu.

L'Assemblée nationale du Québec est également le lieu de conservation de la collection Pierre-Joseph-Olivier-Chauveau, classée document patrimonial.

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Statuts

Statut Catégorie Autorité Date
Déclaration par la Loi sur le patrimoine culturel Site patrimonial national Gouvernement du Québec 2012-10-19

Statuts antérieurs

  • Déclaration par la Loi sur les biens culturels, 1985-06-20
 

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Valeur patrimoniale

L'Assemblée nationale du Québec présente un intérêt patrimonial pour ses valeurs historique et identitaire. Cet ensemble institutionnel est construit en plusieurs étapes à partir de 1877. Son coeur est l'Hôtel du Parlement, lieu d'expression et de mise en oeuvre des principes démocratiques de gouvernement. C'est dans ses murs qu'ont lieu, depuis 1885, les délibérations des représentants du peuple québécois, qui sont chargés de faire les lois et de contrôler l'action gouvernementale. L'origine de ces institutions remonte à 1791, alors que l'Acte constitutionnel instaure le régime parlementaire britannique dans le Bas-Canada. L'Assemblée nationale, qui est le siège du seul parlement et gouvernement francophone d'Amérique du Nord, constitue ainsi le symbole de l'État du Québec et de ses institutions démocratiques.

L'Assemblée nationale du Québec présente également un intérêt pour sa valeur architecturale. Ce site est composé de six bâtiments, construits selon les plans d'architectes renommés. Les édifices se caractérisent notamment par leur harmonie architecturale et leur aspect monumental. L'Hôtel du Parlement est l'exemple par excellence du style Second Empire au Québec, comme en témoignent ses quatre corps de bâtiment (le Palais législatif et les trois ailes) autour d'une cour intérieure carrée, ses toits mansardés, ses pavillons centraux, ses pavillons d'angle ainsi que sa riche ornementation. Cet édifice traduit ainsi l'intention de son architecte, Eugène-Étienne Taché (1836-1912), de s'inspirer d'un style élaboré en France dans la seconde moitié du XIXe siècle pour souligner les origines françaises de la capitale. Les cinq autres édifices s'inscrivent dans la tradition de l'architecture Beaux-Arts, qui est privilégiée par l'homme politique Louis-Alexandre Taschereau (1867-1952) afin d'affirmer le rôle de capitale de la ville de Québec et de conférer à la province une architecture institutionnelle portant le sceau de l'État. Par leurs références stylistiques à connotation française, les édifices de l'Assemblée nationale forment un ensemble architectural harmonieux et imposent l'image de l'État.

L'Assemblée nationale du Québec présente aussi un intérêt patrimonial pour sa valeur historique liée à son programme commémoratif. Cet ensemble est un haut lieu de la mémoire collective. Son bâtiment principal, l'Hôtel du Parlement, est un monument consacré à notre histoire nationale. La devise « Je me souviens » est inscrite au-dessus de la porte principale. Le programme commémoratif, exécuté entre 1890 et 1969, comprend 26 bronzes et de nombreuses armoiries sculptées qui rendent hommage aux découvreurs et aux grandes figures militaires, religieuses et politiques du passé. Depuis 1912, ce programme s'est étendu au terrain, qui comprend des statues d'hommes politiques et d'autres monuments. L'Assemblée nationale est ainsi le principal lieu de commémoration de l'histoire du Québec.

L'Assemblée nationale du Québec présente en outre un intérêt patrimonial pour sa valeur urbanistique liée à son implantation pavillonnaire. À l'époque de sa construction, l'Hôtel du Parlement doit loger les chambres et tous les départements ou ministères. Toutefois, avec l'accroissement des effectifs de l'État, de nouveaux bâtiments sont nécessaires. Entre 1910 et 1937, le gouvernement fait construire cinq édifices en s'inspirant du système pavillonnaire de Washington, capitale des États-Unis. Ce système se caractérise notamment par l'autonomie de chacune des composantes. L'Hôtel du Parlement, l'édifice Pamphile-Le May, l'édifice du restaurant Le Parlementaire, l'édifice Honoré-Mercier, l'édifice Jean-Antoine-Panet et l'édifice André-Laurendeau deviendront ainsi le coeur de la cité administrative moderne que l'on nommera « colline Parlementaire ».

Source : Ministère de la Culture et des Communications, 2012.

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Éléments caractéristiques

Les éléments clés de l'Assemblée nationale du Québec liés à ses valeurs historique, identitaire, architecturale et urbanistique comprennent, notamment :
- sa situation sur la colline Parlementaire, sur un terrain en pente entre le boulevard René-Lévesque Est, l'avenue Honoré-Mercier, la Grande Allée Est, la rue des Parlementaires, la rue Saint-Amable et la rue Louis-Alexandre-Taschereau;
- le terrain ceinturé par un muret en granit gris, incluant des arbres, des aménagements paysagers ainsi que des allées et englobant une partie de la place de l'Assemblée-Nationale et de la promenade des Premiers-Ministres;
- la disposition des bâtiments selon un système pavillonnaire;
- les caractéristiques de l'Hôtel du Parlement, dont le plan carré (composé de quatre ailes disposées autour d'une cour intérieure), l'élévation de quatre étages, la tour-horloge de huit étages, les avant-corps centraux coiffés de dômes rectangulaires, les pavillons d'angle coiffés de toits en pavillon, les toits mansardés percés de lucarnes, le parement en pierre, les portails ioniques, la riche ornementation et la fontaine entourée par un escalier d'apparat semi-circulaire;
- les caractéristiques de l'édifice du restaurant Le Parlementaire, dont le plan rectangulaire, l'élévation de trois étages et demi, l'avant-corps, les toits plats et à fausse mansarde, le soubassement en pierre, le parement en brique jaune ainsi que l'ornementation composée d'une corniche, de chambranles et de clés décoratives;
- les caractéristiques de l'édifice Pamphile-Le May, dont le plan rectangulaire, l'élévation de quatre étages, l'avant-corps central, les balcons, le toit mansardé, le parement en pierre, ainsi que l'ornementation composée de chaînes d'angle, d'un bandeau, d'une corniche à modillons, de frontons et de chambranles;
- les caractéristiques de l'édifice Honoré-Mercier, dont le plan rectangulaire, l'élévation de quatre étages, les ressauts, le toit plat, le parement en pierre, le soubassement chanfreiné, les portails cintrés, les pilastres monumentaux, la balustrade et les cartouches;
- les caractéristiques de l'édifice Jean-Antoine-Panet et de l'édifice André-Laurendeau, dont les plans rectangulaires, les élévations de huit à dix étages, les avant-corps centraux, les toits en fausse mansarde percés de lucarnes, les parements en pierre de taille ou en pierre chanfreinée, les portails, les bandeaux, les corniches à modillons et les urnes;
- le programme commémoratif, dont la devise du Québec placée au-dessus de l'entrée d'honneur, les armoiries sculptées, les statues en bronze placées dans des niches, les inscriptions de noms de personnages ainsi que les statues et les monuments placés sur le terrain.

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Informations historiques

L'Assemblée nationale du Québec est le symbole de l'État du Québec et de ses institutions démocratiques. Leur origine remonte à 1791, alors que le régime parlementaire britannique est instauré dans le Bas-Canada et que la capitale est installée à Québec. À la suite de l'Acte d'Union en 1841, la capitale devient itinérante. Québec accueille les parlementaires de 1852 à 1855 et de 1860 à 1865. Pendant toutes ces années, les députés siègent dans un édifice situé côte de la Montagne, à l'endroit de l'actuel parc Montmorency.

En 1867, l'Acte de l'Amérique du Nord britannique est sanctionné. La ville de Québec devient la capitale de la province qui porte son nom. Le siège du gouvernement provincial et les départements (ministères) s'installent dans l'ancien parlement. Dès 1869, on songe à la construction d'un nouveau bâtiment.

Le gouvernement choisit d'abord l'emplacement de l'actuel hôtel de ville. Eugène-Étienne Taché (1836-1912), commissaire adjoint au département des Terres de la Couronne, présente ses plans en 1875. L'année suivante, la province fait l'acquisition du Cricket Field, situé à l'extérieur des fortifications. Taché adapte son projet au nouveau site et dépose des plans définitifs en 1877 et 1883.

L'Hôtel du Parlement est construit en deux temps, entre 1877 et 1886. Les trois ailes destinées à accueillir les bureaux de l'exécutif, du lieutenant-gouverneur et des départements sont érigées entre 1877 et 1880. Le Palais législatif, qui doit loger l'Assemblée législative et le Conseil législatif, est élevé de 1883 à 1886. En 1885, les parlementaires siègent dans le nouvel édifice. Trois ans plus tard, l'horloge de la tour est fabriquée et installée par Cyrille Duquet (1841-1922), un horloger-bijoutier de Québec.

Pour l'Hôtel du Parlement, Taché met en branle un vaste programme commémoratif. Sa réalisation va s'étirer jusqu'en 1969 et fera appel à des sculpteurs de renom. En 1912, ce programme s'étend au terrain avec la mise en place d'une première statue.

Entre 1910 et 1925, le gouvernement aménage une cité administrative pavillonnaire autour de l'Hôtel du Parlement pour accueillir les effectifs croissants des ministères. L'homme politique Louis-Alexandre Taschereau (1867-1952) est à l'origine de la construction des bâtiments. Le premier est l'édifice Pamphile-Le May, conçu pour abriter la bibliothèque du Parlement et bâti de 1910 à 1915 selon les plans des architectes Jean-Omer Marchand (1873-1936) et Georges-Émile Tanguay (1857-1923). Ceux-ci réalisent aussi l'édifice du restaurant Le Parlementaire, qui est érigé de 1912 à 1917 dans la cour de l'Hôtel du Parlement pour loger les systèmes de chauffage et d'électricité et un restaurant. Enfin, l'édifice Honoré-Mercier est élevé de 1922 à 1925 selon les plans de l'architecte Raoul Chênevert (1889-1951). Il abritera notamment les bureaux du premier ministre jusqu'en 1972.

En 1930, Chênevert propose un plan pour agrandir la cité parlementaire avec trois nouveaux édifices. Seulement deux bâtiments seront érigés selon les plans d'autres architectes. L'édifice Jean-Antoine-Panet est construit en 1931 et 1932 afin d'accueillir le ministère de l'Agriculture et l'édifice André-Laurendeau est bâti de 1934 à 1937 pour loger le ministère de la Voirie.

Le 21 janvier 1948, le fleurdelisé devient le drapeau officiel du Québec et est hissé pour la première fois sur le mât de l'Hôtel du Parlement. Vingt ans plus tard, le Conseil législatif est aboli et l'Assemblée législative devient l'Assemblée nationale du Québec.

L'Assemblée nationale est déclarée site historique national en 1985. Ce bien est devenu un site patrimonial national à l'entrée en vigueur de la Loi sur le patrimoine culturel en 2012. Au même moment, le périmètre du site est agrandi afin d'inclure les édifices Jean-Antoine-Panet et André-Laurendeau.

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Emplacement

Region administrative :

  • Capitale-Nationale

MRC :

  • Québec

Municipalité :

  • Québec

Arrondissement municipal :

  • La Cité

Adresse :

  • rue des Parlementaires

Latitude :

  • 46° 48' 33.2"

Longitude :

  • -71° 12' 47.6"

Désignation cadastrale :

  • Lot 1 212 892

Code Borden

CeEt-740      

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Références

Liens Internet :

Notices bibliographiques :

  • BEAULIEU, André. L'Assemblée nationale du Québec. Québec, Éditeur officiel du Québec, 1973. 69 p.
  • BÉLANGER, Réal. « L'Hôtel du Parlement, symbole de l'État du Québec en devenir (1867-1982) ». COURVILLE, Serge et Robert GARON. Atlas historique du Québec. Québec, ville et capitale. Sainte-Foy, Presses de l'Université Laval, 2001, p. 412-438.
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  • CAMERON, Christina et Janet WRIGHT. Le style second Empire dans l'architecture canadienne. Lieux historiques canadiens : cahiers d'archéologie et d'histoire, 24. Ottawa, Direction des lieux et des parcs historiques nationaux, 1980. 246 p.
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  • LAMBERT, Laurence. « L'Hôtel du Parlement ». L'Action nationale. Vol. 88, no 5 (1998), p. 131-137.
  • LAPLANTE, Linda. Contenu de la visite extérieure de l'Assemblée nationale. Québec, L'Assemblée nationale, 1993. 27 p.
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  • MARTIN, Denis. Portrait des héros de la Nouvelle-France: images d'un culte historique. Québec, Hurtubise H.M.H., 1988. 173 p.
  • MORISSET, Lucie K. et Luc NOPPEN. Québec de roc et de pierres : la capitale en architecture. Sainte-Foy, Éditions MultiMondes, 1998. 150 p.
  • MORISSET, Lucie K. et Luc NOPPEN. « Taché, Eugène-Étienne ». Université Laval/University of Toronto. Dictionnaire biographique du Canada [En ligne]. http://www.biographi.ca/
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  • POTVIN, Damase. Aux fenêtres du Parlement de Québec : histoire, traditions, coutumes, usages, procédures, souvenirs, anecdotes, commissions et autres organismes. Québec, Éditions de la Tour de pierre, 1972. 337 p.
  • s.a. « L'art commémoratif sur la colline Parlementaire: dossier ». Continuité. No 82 (1999), p. 49-49.
  • s.a. « L'Édifice Honoré-Mercier: construction et premiers occupants ». Bulletin de la Bibliothèque de l'Assemblée nationale. Vol. 30, no 3-4 (2001), p. 19-20.
  • s.a. La Bibliothèque de l'Assemblée nationale : l'immeuble, les oeuvres d'art et les collections. Québec, La Bibliothèque, 1998. 22 p.
  • s.a. Mémoire de bronze : les statues de la façade de l'Hôtel du Parlement. Québec, Assemblée nationale, 2006. 20 p.
  • SAINT-PIERRE, Jocelyn. « La Bibliothèque de l'Assemblée nationale et la quête séculaire d'espace ». Bulletin de la Bibliothèque de l'Assemblée nationale. Vol. 31, no 1-2 (2002), p. 16-24.

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