Répertoire dupatrimoineculturel du Québec

Porte-cierges votifs

Type :

Patrimoine mobilier (Oeuvre d'art / Ethno-historique)

Région administrative :

  • Saguenay--Lac-Saint-Jean

Date :

  • avant 1903 (Production)

Thématique :

  • Patrimoine religieux (Culte)

Tradition religieuse :

  • Christianisme (Catholicisme (rite latin))

Classification :

  • Oeuvre d'art / Bien ethno-historique > Objets de communication > Objet de cérémonie > Objet religieux > Objet pour l'éclairage

Éléments associés

Patrimoine immobilier associé (1)

Groupes associés (1)

Personnes associées (1)

Inventaires associés (1)

Images

Description

Grand porte-cierges votifs en ferblanterie, recouvert de peinture dorée, composé d'un plateau circulaire à rebords dans lequel sont fixés six piques sur lesquels se placent des cierges. Le plateau est supporté par une longue tige à trois collerettes qui est soutenue par une base circulaire.

Numéro de l'objet :

  • Numéro d'accession : 2021.402
  • Numéro précédent : G.79.442.L.

Dimensions :

  • Diamètre extérieur (Mesurée / intégral) : 45,4 centimètre(s)
  • Hauteur (Mesurée / intégral) : 114,5 centimètre(s)

Matériaux :

  • Métal (Fer)
  • Peinture

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Statuts

Statut Catégorie Autorité Date
Inventorié --
 

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Informations historiques

Un porte-cierges votifs est un meuble de formes diverses, souvent en fer, composé d'un ou plusieurs plateaux superposés ou de barres étagées comportant des supports ou des broches destinés à porter des cierges ou des lampions votifs. Le porte-cierges votifs est généralement placé en dessous ou à proximité d'une représentation religieuse particulièrement honorée.

Le porte-cierges a été donné, le 1er août 1903, par l'abbé Elzéar Delamarre (1854-1925), alors chapelain de la chapelle de la Sainte-Face. Selon le Journal de la communauté, le porte-cierges, inauguré le 18 octobre, « servira à faire brûler les cierges devant la statue de S.Antoine [de Padoue], en notre chapelle. » Cette statue, également donnée par l'abbé Delamarre en 1901, se retrouvait à droite de l'autel de saint Antoine situé dans la chapelle extérieure.

La chapelle de la Sainte-Face a été construite en 1887 trois ans après la fondation du monastère. À partir de 1943, la majorité des cérémonies sont célébrées au nouvel oratoire Saint-Joseph fraîchement bâti. Un an plus tard, l'ancienne chapelle est reconvertie, en partie, en salles de cours et d'étude pour l'École des Infirmières. La chapelle brûle dans le grand incendie de mai 1963. Le porte-cierges étant en bon état, a probablement été retiré de la chapelle avant l'incendie de 1963.

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