Chape
Type :
Patrimoine mobilier (Oeuvre d'art / Ethno-historique)
Région administrative :
- Saguenay--Lac-Saint-Jean
Date :
- vers 1967 (Production)
Thématique :
- Patrimoine religieux (Culte)
Tradition religieuse :
- Christianisme (Catholicisme (rite latin))
Classification :
- Oeuvre d'art / Bien ethno-historique > Objets de communication > Objet de cérémonie > Vêtement religieux > Vêtement liturgique de dessus
Patrimoine immobilier associé (1)
Groupes associés (2)
- Servantes du Très-Saint-Sacrement (1858 – ) - Artiste / artisan(a)
- Augustines de la Miséricorde de Jésus de Chicoutimi (1884 – ) - Propriétaire
Inventaires associés (1)
Description
Chape beige faite d'un tissu synthétique semblable au lin ornée, sur le devant et à l'arrière, de formes brodées en lainage synthétique polychrome (vert, brun, jaune et orange). Deux gros boutons ronds en bois décorés de marqueterie présentant des chrismes de bois pâle sur fond plus foncé. Un cordon, fait de la même fibre que les broderies, noué au centre et formant deux boucles, vient s'attacher aux boutons.
Numéro de l'objet :
- Numéro d'accession : 2021.459.1-2
- Numéro précédent : G.81.60.C.
Lieu de production :
- Amérique du Nord > Canada > Québec > Estrie > Sherbrooke
Dimensions :
- Hauteur (Estimée / intégral) : 152 centimètre(s)
- Largeur (Estimée / intégral) : entre 73 et 23 centimètre(s)
- Profondeur (Estimée / intégral) : entre 73 et 23 centimètre(s)
Matériaux :
- Fibre
- Bois
- Métal
Statuts
Statut | Catégorie | Autorité | Date |
---|---|---|---|
Inventorié | -- | ||
Informations historiques
Une chape est un long vêtement de cérémonie, ouvert sur le devant, généralement de forme semi-circulaire, porté par-dessus tous les autres et servant pour les messes pontificales et d'autres cérémonies solennelles comme certaines vêpres, les processions et bénédictions du saint sacrement, etc.
Selon un ancien inventaire, la chape aurait été confectionnée et offerte par les servantes du Très-Saint Sacrement de Sherbrooke, en 1967 ou 1968, à soeur Marie Marthe Judith Gilbert (1923-2016), dite de Saint-Thomas-Marie, alors supérieure. Elle a probablement été utilisée par la suite à l'oratoire Saint-Joseph.