Dessaillant, Michel
Type :
Personne (Homme)
Autre(s) nom(s) :
- Dessaillant de Richeterre
- Richeterre
- Rissetière
Date :
- avant 1701 – après 1711
Occupation :
- Peintre / illustrateur
Éléments associés
Patrimoine mobilier associé (4)
- Peinture (Mère Juchereau, dite de Saint-Ignace) - Création
- Peinture (Sainte Hélène impératrice) - Création [Hypothèse réfutée]
- Peinture (Abbé Joseph S. de la Colombière) - Création
- Peinture (Père Paul Ragueneau) - Création
Statuts
| Statut | Catégorie | Autorité | Date |
|---|---|---|---|
| Inventorié | -- | ||
Synthèse
Né en France, Michel Dessaillant s'établit à Montréal en 1701 au plus tard.
Dessaillant reçoit peut-être sa formation artistique en Nouvelle-France. En 1706, il s'installe probablement à Détroit et deux ans plus tard, il revient à Montréal où il travaille pour les Augustines de la Miséricorde de Jésus de l'Hôtel-Dieu de Québec. Il retourne vraisemblablement en France en 1711.
Les deux seules oeuvres qu'on lui attribue avec certitude sont le portrait de Madame de Repentigny (1701), aujourd'hui perdu, et le portrait posthume de Mère Louise Soumande de Saint-Augustin (1708), première supérieure des Augustines de l'Hôpital général de Québec. On lui attribue également quelques autres tableaux que possède cette communauté religieuse, ainsi que certains des ex-voto de l'église de Sainte-Anne-de-Beaupré.
Références
Notices bibliographiques :
- GAGNON, François-Marc. « Dessailliant, dit Richeterre, Michel ». Historica Canada. L'encyclopédie canadienne [En ligne]. http://www.thecanadianencyclopedia.com/
- KAREL, David. Dictionnaire des artistes de langue française en Amérique du Nord : peintres, sculpteurs, dessinateurs, graveurs, photographes et orfèvres. Québec, Musée du Québec / Les Presses de l'Université Laval, 1992. 962 p.
