Plaque du Centenaire Centre culturel de Mistassini
Type :
Plaque commémorative
Région administrative :
- Saguenay--Lac-Saint-Jean
Municipalité :
- Dolbeau-Mistassini
Date :
- 1967‑06‑19 (Inauguration du bien commémoratif)
Thématique :
- Patrimoine commémoratif
Objet de la commémoration :
- Événement
Thèmes commémoratifs :
- Arts, culture et communications
- Gouvernance
- Population et peuplement
Événements associés (1)
Inventaires associés (1)
Description
1867-1967
Centenaire de la
Confédération
Centre culturel de
Mistassini
Monument érigé par la
Ville de Mistassini en collaboration avec
la province de Québec et le gouvernement
du Canada, pour commémorer le
Centenaire de la Confédération
canadienne en 1967
Langue :
- Français
Maître d'oeuvre :
- Gouvernement du Canada
- Gouvernement du Québec
- Municipalité
Statuts
Statut | Catégorie | Autorité | Date |
---|---|---|---|
Inventorié | -- | ||
Informations historiques
Les célébrations du Centenaire de la Confédération canadienne en 1967 donnent lieu à de nombreux projets d'envergure à travers le pays. Durant la décennie 1960, le gouvernement fédéral et les provinces participent financièrement aux initiatives commémoratives nationales. Au Québec, Les projets du Centenaire permettent la construction de nombreux édifices à vocation culturelle et sportive.
La plaque commémorative du Centenaire du Centre culturel de Mistassini rappelle cette volonté de commémoration.
En 1965, par une résolution du Conseil de ville de Mistassini, il est décrété de faire les démarches nécessaires concernant la construction d'un édifice en commémoration du Centenaire de la Confédération canadienne.
Le nouveau Centre culturel abrite la bibliothèque et le musée François-Paradis. À partir du 20 mars 1967, deux personnes amorcent des recherches d'objets et de livres dans la région et, après deux mois de travail, accumulent plus de 900 objets.
Le Centre Culturel est inauguré le 18 juin 1967, année marquant également le 75e anniversaire de la fondation de Mistassini par les Pères trappistes, en 1892. Le nom du musée rappelle ce fils fictif de Mistassini, qui a gagné le coeur de Maria Chapdelaine et dont Louis Hémon parle dans son roman.
Le musée demeure dans ce bâtiment qu'on appelle « l'Éléphant Blanc » jusqu'aux environs de 1980, et déménage jusqu'en 1982 au sous-sol de l'église de Péribonka. Rénové vers 2016, l'édifice héberge maintenant la clinique dentaire Panoramique et des bureaux administratifs.
Références
Notices bibliographiques :
- s.a. Les Projets du centenaire au Québec. Québec, Secrétariat de la province de Québec, 1965. 77 p.