Poisson, Modeste-Jules-Adolphe
Type :
Personne (Homme)
Autre(s) nom(s) :
- Poisson, Adolphe
Date :
- 1849‑03‑14 – 1922‑04‑23
Occupation :
- Auteur
- Avocat
Patrimoine immobilier associé (1)
Patrimoine mobilier associé (2)
Plaques commémoratives associées (1)
Statuts
Statut | Catégorie | Autorité | Date |
---|---|---|---|
Inventorié | -- | ||
Synthèse
Né à Gentilly, le 14 mars 1849, Modeste-Jules-Adolphe Poisson est le fils d'Édouard-Modeste Poisson, médecin, et de Caroline-Delphine Buteau.
Poisson fait ses études classiques au petit séminaire de Québec, puis poursuit en droit, à l'Université Laval. Admis à la pratique en 1873, il devient registraire du comté d'Arthabaska. Il occupe ce poste jusqu'à son décès.
Poisson acquiert une certaine notoriété en tant que poète. En plus de ses recueils, il publie des poèmes dans La Revue canadienne, Les Nouvelles Soirées canadiennes, Le Canada français, L'Opinion publique et Le Bulletin du parler français au Canada. En 1894, l'auteur entre à la Société royale du Canada.
Il a publié Le prince impérial (1879), Chants canadiens à l'occasion du 24 juin 1880 (1880), Heures perdues (1894), Sous les pins (1902) et Chants du soir (1917).
Il est décédé le 23 avril 1922.
Il avait épousé, en 1882, Amélie Côté, fille d'Augustin Côté, éditeur du Journal de Québec, et de Caroline-Amélie Lemieux.
Références
Notices bibliographiques :
- HAMEL, Réginald, John HARE et Paul WYCZYNSKI. Dictionnaire pratique des auteurs québécois. Montréal, Fides, 1976. s.p.
- LE JEUNE, Louis. Dictionnaire général de biographie, histoire, littérature, agriculture, commerce, industrie et des arts, sciences, moeurs, coutumes, institutions politiques et religieuses du Canada. Vol. 2. Ottawa, Université d'Ottawa, 1931. 829 p.