Tanguay, Georges
Type :
Personne (Homme)
Date :
- 1856‑06‑02 – 1913‑09‑21
Occupation :
- Commerçant / marchand
- Député
- Maire
- Personnalité d'affaires
Patrimoine immobilier associé (2)
Groupes associés (1)
Statuts
Statut | Catégorie | Autorité | Date |
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Inventorié | -- | ||
Synthèse
Né le 2 juin 1856 à Québec, Georges Tanguay est le fils de Georges Tanguay, boucher et commerçant, et d'Adeline Mathieu.
Tanguay étudie à l'académie commerciale de Québec.
En 1886, il succède à son père à la direction de la maison de commerce Georges Tanguay, grossiste en grains et provisions (poissons, lard, huile), qui fait des affaires au Québec et dans les provinces maritimes. Il est président de la Chambre de commerce de Québec de 1901 à 1903 et membre de la Commission du havre de Québec de 1903 à 1910. Il est aussi directeur de la compagnie de l'Auditorium et directeur de la compagnie de chemin de fer Québec-Lac-Saint-Jean.
Il représente le quartier du Palais au conseil municipal de Québec de 1894 à 1907. Il préside le comité des finances jusqu'en 1906 puis accède brièvement à la maire de Québec la même année. Conjointement à ses fonctions à la ville, il est député libéral de Lac-Saint-Jean à l'Assemblée législative de la province de Québec, de 1900 à 1908.
Il est décédé à Québec le 21 septembre 1913. Il est inhumé au cimetière Notre-Dame-de-Belmont à Sainte-Foy (Québec).
Il avait épousé à Québec, en 1879, Rachel Destroismaisons dit Picard, fille d'Amable Destroismaisons dit Picard, commerçant, et de Julie Giguère; puis à Baie-Saint-Paul, en 1884, Corinne Boudreau, fille d'Édouard Boudreau, médecin, et d'Angélina Touchette.
Références
Notices bibliographiques :
- Assemblée nationale du Québec. Histoire: Dictionnaire des parlementaires du Québec de 1792 à nos jours [En Ligne]. http://www.assnat.qc.ca/
- CÔTÉ, Louis-Marie, Carmelle GAUVIN et Gérald SIROIS. Les maires de la vieille capitale. Québec, Société historique de Québec, 1980. 117 p.
- COURNOYER, Jean. La mémoire du Québec: de 1534 à nos jours: répertoire de noms propres. Montréal, Stanké, 2001. 1861 p.